mardi 19 novembre 2013

Claude Chollet - Le New York Times n’a pas peur du numérique

Claude Chollet - Le New York Times n’a pas peur du numérique

Dans un entretien accordé aux Échos mardi dernier, Mark Thompson, le PDG du groupe New York Times, s’est exprimé sur l’avenir de son journal mais aussi sur celui de la presse papier par rapport à la montée du numérique.

Rappelant que le New York Times version papier est « profitable » et n’est donc pas en danger, celui-ci explique que « le numérique se développe mais il ne va pas tuer le papier. Il y aura toujours des gens dans le monde qui aimeront lire les journaux dans leur version imprimée. On peut lire le journal papier le matin à la maison. Après, le consulter sur son mobile dans les transports. Une fois arrivé au bureau, le lire sur ordinateur, avant de revenir sur la version papier. On accompagne le lecteur toute la journée. »

La version numérique du New York Times rapporte 1 millions de dollars par an et est en croissance continue. « Nous n’avons jamais eu autant de gens qui paient pour nos contenus. Nous avons des concurrents gratuits mais ils n’investissent pas comme nous. Notre qualité passe par nos journalistes, par notre salle de rédaction qui est forte de 1 100 personnes », estime Mark Thompson.

Pour poursuivre sa progression et tenir le choc face au numérique, le New York Times compte avant tout sur son audience mondiale et sa réputation.

Plus d'infos : http://www.ojim.fr/le-new-york-times-na-pas-peur-du-numerique/

Dans un entretien accordé aux Échos mardi dernier, Mark Thompson, le PDG du groupe New York Times, s’est exprimé sur l’avenir de son journal mais aussi sur celui de la presse papier par rapport à la montée du numérique.

Rappelant que le New York Times version papier est « profitable » et n’est donc pas en danger, celui-ci explique que « le numérique se développe mais il ne va pas tuer le papier. Il y aura toujours des gens dans le monde qui aimeront lire les journaux dans leur version imprimée. On peut lire le journal papier le matin à la maison. Après, le consulter sur son mobile dans les transports. Une fois arrivé au bureau, le lire sur ordinateur, avant de revenir sur la version papier. On accompagne le lecteur toute la journée. »

La version numérique du New York Times rapporte 1 millions de dollars par an et est en croissance continue. « Nous n’avons jamais eu autant de gens qui paient pour nos contenus. Nous avons des concurrents gratuits mais ils n’investissent pas comme nous. Notre qualité passe par nos journalistes, par notre salle de rédaction qui est forte de 1 100 personnes », estime Mark Thompson.

Pour poursuivre sa progression et tenir le choc face au numérique, le New York Times compte avant tout sur son audience mondiale et sa réputation.

Plus d'infos : http://www.ojim.fr/le-new-york-times-na-pas-peur-du-numerique/

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